Diana Cooper
extrait de Diana Cooper, Systems that make no sense / Diana Cooper, Entretien avec Marion Daniel, New York, 1er mai 2010
 Texte paru dans la revue Roven nº4, automne-hiver 2010-2011
liens suite entretien
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"... L’association  de vides et de pleins, de parties évoquant une multiplication  cellulaire et de structures linéaires claires, se fait dans une logique  d’accumulation. Au moyen de ses « gribouillages », Cooper crée des  sortes d’organismes imaginaires au bord de l’implosion. Pratiqué  à grande échelle, le gribouillage produit une véritable intrication de  formes, à laquelle l’artiste ajoute des éléments hétérogènes : des  pompons, des cure-pipes ou encore des rubans adhésifs en aluminium..."
Sarah Sze
http://www.sarahsze.com/Texte extrait in x biennale de Lyon / le spectacle du quotidien - 2009
liens biennale de Lyon
"... Sarah Sze crée des sculptures à partir de petits objets de la vie quotidienne (trombones, coton-tiges, allumettes, bonbons, punaises, pilules, bouchons  de bouteilles, chips d’emballages, clous, ampoules, pinces à linge,  bobines de fil, capsules de lait, savons, poignées de portes, éponges,  stylos, cactus, tasses, loupes, bacs à glaçon, calculatrices, brosses,  ventilateurs, rasoirs, charnières, chewing-gums, échelles, plumes, tiges, ciseaux ou morceaux de  polystyrène) qui sont  assemblés comme des  réseaux impossibles dans l’espace et l’envahissent totalement. Un  mélange de hasard et d’équilibre fragile qui (dé)construit l’espace. Ses assemblages pourraient s’étendre indéfiniment à travers l’espace d’exposition..."
 

