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27/10/2012

ex situ la maison / recherches

EXPRESSION PLASTIQUE  DE1 2012-2103

Recherches plastiques
à partir de la forme iconique de la maison en relation avec une sensation, un état psychologique qui définit un caractère.

extravertie

squelettique

digitale

pudique




18/08/2010

Structures & formes de cabanes/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011

forme première d'habitat









La Yourte

L‘origine de la yourte se perd dans les confins des âges antiques. Parmi les premiers utilisateurs connus, les Scythes qui, cinq siècles avant notre ère, la transportent montée sur des tereks, de grands chariots à six roues, ils emportent leurs maisons avec eux. Cet objet étrange et rond, peuple encore les paysages de la mer Caspienne à la Mongolie. La yourte, pliée et démontée en quelques heures, porte toute la mémoire d‘un peuple millénaire. Contrairement à l‘habitat sédentaire, les nomades bâtissent d‘abord le plancher sur lequel est disposé le mobilier et en premier lieu le poêle. Le montage d‘une yourte s‘effectue dans un ordre précis et immuable. En fonction de la météo, la coupole de bois évidée, appelée aussi anneau de compression, peut être découverte..


Le Tipi


Le tipi nomade est une invention des Apaches de l‘Est et des Blackfeet, chasseurs de bison vivant à la lisière des plaines. Les Crows utilisent de longues perches quand les Crees construisent des tipis trapus, les Cheyennes les habillèrent d‘auvents longs et étroits, ils seront courts et larges chez les Blackfeet. Une charpente, de trois ou quatre perches, soutient l‘ensemble du dispositif qui comprend quinze perches. L‘arrière du tipi est toujours tourné vers les vents dominants donnant une plus grande résistance. L‘enveloppe hissée jusqu‘à la dernière perche, s‘enroule autour, retenue à l‘avant par des chevilles de bois. Les doublures en peau de bison permettent d‘isoler le tipi du froid comme de la chaleur, de laisser s‘écouler l‘eau de pluie le long des perches et d‘assurer une parfaite ventilation.

L'Igloo


L'Igloo est l‘habitation typique des Inuit centraux du nord canadien. Nous appelons cette maison « igloo », mais les Inuit l‘appellent « igluvigak». Cet abri ressemble a une moitié d‘orange posée à plat. L‘igloo est fait de neige durcie par le vent de la toundra.
La neige utilisée pour faire un igloo doit avoir une résistance structurelle suffisante pour pouvoir être coupée et empilée de manière appropriée. La meilleure neige à employer à cette fin est une neige qui a été pressée par le vent, ce qui rend compacts les cristaux de glace. On utilise généralement le trou dont on extrait les blocs de neige compacts pour faire la partie inférieure de l’abri.
Les blocs de neige, découpés à l’aide d'un couteau, doivent être d'environ 1 m de long, 40 cm de haut et 20 cm de large. Il est conseillé de les poser en spirale pour faciliter la construction d'un dôme. L’entrée doit être positionnée le plus bas possible pour éviter que le vent ne s’y engouffre.
On peut bâtir un petit tunnel, voire un vestibule, à l’entrée de l’igloo, pour se protéger du vent et de la perte de chaleur, spécialement lorsqu'on ouvre la porte. Les trous de ventilation sont nécessaires, sinon le dioxyde de carbone produit par la respiration humaine s’accumule, et peut entraîner la suffocation.

Le Wigawam

Le wigwam a la forme d‘un dôme (comme l'igloo). Il est formé de seize à vingt longues perches enfoncées dans le solen décrivant un cercle de quinze pieds (4,5m)de diamètre. Ensuite la charpente est renforcée en l‘entourant de deux ou trois cerceaux de bois jeune. Comme revêtement extérieur,les Indiens utilisent ce qu‘ils trouvent : écorce, peaux ou nattes de joncs qu'une couture habile rend étanche. Les habitations sont de plan circulaire ou allongé et peuvent abriter de 10 à 20 personnes. La structure est constituée d'un bâti de perches sur lequel est fixé le recouvrement d'écorces de bouleau, ou de nattes de quenouille ou de joncs. Les pièces d'écorce sont cousues ensemble à l'aide de racines d'épinette ou de sapin. Le sol est recouvert de branches de sapin ou d'épinette afin de le rendre confortable et isolant. Les wigwams sont généralement décorés de motifs représentant des oiseaux, des orignaux, des castors, des loutres, etc. L'hiver, il est recouvert de peau d'animaux. Un feu est entretenu en permanence au centre, la fumée s'échappe par un trou de cheminée.

17/08/2010

Lexique: cabanes et autres abris/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011

hutte / cabanon / baraque / gourbis / appentis / remise / bicoque / igloo / tente / casbah / yourte / logis / case / tipi / grotte / paillote casemate / roulotte / caravane / mobile home / refuge / cachette / borie / blockhaus / belvédère / maison de thé / poste d'observation / abri / kiosque / cabine / local / cave / grenier

arche de Nöe / tour de Babel / labyrinthe / oratoire / chapelle / crypte / catacombe / ossuaire / nid / cocon / coquille / carapace / alvéole / ruche / terrier / tanière / voilère / stalles / étable / boite / niche / casier / bocal

la poétique de l'espace/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011

la maison abrite la rêverie, la maison protège le rêveur

Gaston Bachelard / Folio classique [1957]

L’espace saisi par l’imagination ne peut rester l’espace indifférent livré à la mesure et à la réflexion du géomètre. Il est vécu. Et il est vécu, non pas dans sa positivité, mais avec toutes les partialités de l’imagination… Sans cesse l’imagination imagine et s’enrichit de nouvelles images. C’est cette richesse d’être imaginé que nous voudrions explorer. »

L’originalité de la philosophie de Bachelard tient à la place donnée, dans ses recherches, à l’imagination et à la poésie. En proposant « de considérer l’imagination comme une puissance majeure de la nature humaine », il a ainsi ouvert de nouveaux espaces de méditation et de réflexion philosophiques dont s’inspirent encore de nombreux philosophes. Dans la poétique de l'espace, Bachelard détaille la maison de la cave au grenier en passant par les chambres, la bibliothèque, les coins et les recoins, les tiroirs les portes et les armoires. La maison que nous construisons, celle que nous reconstruisons quand nous l'avons perdu, celle qu'on n'arrête jamais de construire. Notre maison plus qu'un paysage est un état d'âme. La maison signifie l'être intérieur : ses étages sa cave et son grenier symbolisent divers états d'âmes. La cave correspond à l'inconscient, le grenier à l'élévation spirituelle, le toit c'est la tête et l'esprit

Extraits de Poétique de l'espace
"La maison est un corps d'images qui donnent à l'homme des raisons ou des illusions de stabilité... "

La question de la technique/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011

l’homme habite en poète

Martin Heidegger / Gallimard [1954]

Extraits de Essais et conférences

La représentation courante de la technique, suivant laquelle elle est un moyen et une activité humaine, est la conception instrumentale et anthropologique de la technique... Il demeure exact que la technique moderne soit, elle aussi, un moyen pour des fins... On veut, comme on dit, "prendre en main" la technique et l’orienter vers des fins "spirituelles". On veut s’en rendre maître. Cette volonté d’être le maître devient d’autant plus insistante que la technique menace davantage d’échapper au contrôle de l’homme.
En quoi l’essence de la technique a-t-elle affaire avec le dévoilement? Réponse: en tout. Car tout "produire" se fonde dans le dévoilement. Dans son domaine rentrent les fins et les moyens, et aussi l’instrumentalité. Ainsi la technique n’est pas seulement un moyen: elle est un mode de dévoilement, c’est-à-dire de la vérité. Le mot "technique" vient du grec et désigne ce qui appartient à la technè. Or ce mot ne désigne pas seulement le faire de l’artisan et son art, mais aussi l’art au sens élevé. La technè est quelque chose de "poiétique".
Un autre point à considérer est que jusqu’à Platon, le mot technè est toujours associé au mot epistemè. Tous deux sont des noms de la connaissance au sens le plus large. Ils désignent le fait de pouvoir se retrouver en quelque chose, de s’y connaître.

La technique est un mode du dévoilement. Elle déploie son être dans la région où le dévoilement et la non-occultation (la vérité) a lieu. On pourrait objecter que cette détermination de la technique est valable pour la pensée grecque mais non pour la technique moderne, qui est motorisée. Or, c’est précisément elle (la technique moderne) et elle seule l’élément inquiétant qui nous pousse à demander ce qu’est "la" technique. On dit que la technique moderne est différente de toutes celles d’autrefois, parce qu’elle est fondée sur la science moderne, exacte, de la nature.
Qu’est-ce que la technique moderne? Elle aussi est un dévoilement. Le dévoilement qui régit la technique moderne est une provocation par laquelle la nature est mise en demeure de livrer une énergie qui puisse comme telle être extraite et accumulée ... Le travail du paysan ne provoque pas la terre cultivable ...
Qui accomplit l’interpellation provocante? L’homme, manifestement. Mais c’est seulement pour autant que, de son côté, l’homme est déjà provoqué à libérer les énergies naturelles que ce type de dévoilement peut avoir lieu. Où et comment a lieu le dévoilement, s’il n’est pas le simple fait de l’homme? Nous n’avons pas à aller chercher bien loin. Quand l’homme à l’intérieur de la non-occultation dévoile à sa manière ce qui est présent, il ne fait que répondre à l’appel de la non-occultation, là même où il le contredit.
Ainsi la technique moderne, en tant que dévoilement qui commet, n’est-elle pas un acte purement humain. L’appel provoquant qui rassemble l’homme autour de la tâche de commettre comme fonds ce qui se dévoile, Heidegger l’appelle l’Arraisonnement (Gestell). Ainsi appelle-t-il le mode de dévoilement qui régit l’essence de la technique moderne et n’est lui-même rien de technique. L’essence de la technique moderne met l’homme sur le chemin de ce dévoilement par lequel, d’une manière plus ou moins perceptible, le réel partout devient fonds. C’est à partir de ce destin que la substance de toute histoire se détermine.
L’Arraisonnement, comme tout mode du dévoilement, est un envoi du destin. L’homme dans tout son être est toujours régi par le destin du dévoilement. Mais, si le destin nous régit dans le mode de l’Arraisonnement, alors il est le danger suprême.
La technique n’est pas ce qui est dangereux. Il n’y a rien de démoniaque dans la technique, mais il y a le mystère de son essence. C’est l’essence de la technique qui est le danger (Gefahr).
Mais là où il y a danger, là aussi
Croît ce qui sauve (Hölderlin)
Ainsi - contrairement à toute attente - l’être de la technique recèle en lui la possibilité que ce qui sauve se lève à notre horizon. C’est pourquoi le point dont tout dépend est que nous considérions ce lever possible, et que, nous souvenant, nous veillions sur lui. Ceci avant tout en apercevant ce qui dans la technique est essentiel, au lieu de nous laisser fasciner par les choses techniques. Aussi longtemps que nous nous représentons la technique comme un instrument, nous restons pris dans la volonté de la maîtriser.
Si nous considérons enfin que l’esse de l’essence se produit dans "ce qui accorde" et qui, préservant l’homme, le maintient dans la part qu’il prend au dévoilement, alors il nous apparaît que l’essence de la technique est ambiguë en un sens élevé. Une telle ambiguïté nous dirige vers le secret de tout dévoilement, c’est-à-dire de la vérité.
L’irrisistibilité du commettre et la retenue de ce qui sauve passent l’une devant l’autre comme, dans le cours des astres, la trajectoire de deux étoiles.
L’être de la technique menace le dévoilement, il menace de la possibilité que tout dévoilement se limite au commettre et que tout se présente seulement dans la non-occultation du fonds. L’action humaine ne peut jamais remédier immédiatement à ce danger. Les réalisations humaines ne peuvent jamais, à elles seules, écarter le danger. Néanmoins, la méditation humaine peut considérer que ce qui sauve doit toujours être d’une essence supérieure, mais en même temps apparentée, à celle de l’être menacé.
Autrefois, technè désignait aussi la production du vrai dans le beau. Qu’était l’art? Pourquoi portait-il l’humble nom de technè? Parce qu’il était un dévoilement producteur et qu’ainsi il faisait partie de la poiésis. Le nom de poiésis fut finalement donné, comme son nom propre, à ce dévoilement qui pénètre et régit tout l’art du beau: la poésie, la chose poétique. La poésie pénètre tout art, tout acte par lequel l’être essentiel est dévoilé dans le Beau.

Le même poète dont nous avons entendu la parole:
Mais là où il y a danger, là aussi
Croît ce qui sauve
nous dit:
... l’homme habite en poète sur cette terre. (Hölderlin)

Cette haute possibilité de son essence est-elle accordée à l’art au milieu de l’extrême danger? Personne ne peut le dire. Mais nous pouvons nous étonner de l’autre possibilité: que partout s’installe la frénésie de la technique, jusqu’au jour où, à travers toutes les choses techniques, l’essence de la technique déploiera son être dans l’avènement de la vérité.

esthétique de la cabane/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011

D'aspect rudimentaire, bricolé avec des matériaux "low tech" ; la cabane développe l'idée d'instant éphémère. Cet abri temporaire, est aussi une coquille vide à l'intérieur qui éveille nos sens, notre imaginaire par son esthétique précaire.
"umbrella house" by kengo kuma

Cabanes d'enfants/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011
La cabane est pour les enfants un archétype de la maison. Une version simplifiée, de la complexité du monde. Cet espace réduit n’a de fonction que d’abriter d’un dehors. L’usage intérieur étant libre, puisque sa seule fonction est de séparer. La dimension ludique est fondamentale autant dans sa fabrication que dans son usage. L'enfant a besoin d'imiter le monde des adultes. Il fait souvent des modèles réduits adaptés à son échelle. La question du jeu et du "je", induit des dialectiques similaires.
Jouer à habiter, habiter pour jouer.

 « la différence entre la maison et la cabane, c‘est que la maison réalise les désirs des parents tandis que la cabane réalise les désirs des enfants » (Didier Anzieu, psychanalyste).  De l‘espace social où s‘exprime un groupe, à l‘espace personnel originale de la personne.  

La cabane simulacre de la maison, forme inventé, bricolé, renouvelle aussi l'idée même d'habiter.
Elle est une interface qui permet d'inventer une autre réalité. La cabane devient un point de vue sur le monde ou bien à l‘inverse comme un microcosme, un refuge, un espace lié à la rêverie...
Une poétique de l'espace!

Babel kit/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011


Destinée aux enfants, cette cabane est une machine à histoires. Le récit de la genèse en a inspiré de multiples versions comme autant de variations à partir d’une même forme. Celle ci n’a qu’une porte mais soixante-dix-sept fenêtres différentes, disposées en escalier et qui s’ouvrent ou se ferment à volonté. C’est une invitation à jouer à plusieurs, dedans et autour. Les trois étapes du montage sont très simples :
Façonner les quatre volumes en pliant les grandes bandes de cartons, percer ensuite les ouvertures prédécoupées, puis assembler le tout à l’aide d’encoches en allant du plus grand au plus petit.

Carton plein

ATELIER-PROJET DE1 2010-2011

Dans le cadre du concours de micro-architecture « Minimaousse 4 » treize architectes ont été invités par l’Institut Français d’Architecture, à créer une cabane en carton à l’échelle des enfants répondant au cahier de charge suivant.
- Elle doit pouvoir être installé dans une chambre d’enfant et occuper une surface de 1m2.
- L’enfant doit pouvoir en sortir facilement.
- Elle se monte avec un adulte.
- Elle ne doit pas forcément se replier pour être rangée une fois montée.
- Proposer à l’enfant une manière de s’approprier cette cabane.

Plusieurs contraintes sont imposées là aux créateurs: projets de «cabane» et non de «maison», un abri à l'échelle d'un enfant de 8 ans, il doit être «montable», «démontable» et réalisé en carton.
Selon Francis Rambert, ce sujet «invite les concepteurs à croiser deux logiques: la réalisation d'une petite architecture légère et très pratique, et l'application du low tech». Le low-tech s'oppose à high tech et désigne des techniques apparemment simples, économiques et populaires qui peuvent faire appel notamment au recyclage.




/ Dominique Perrault, Encore Heureux, Hamonic et Masson, Matthieu Poitevin, Michel et Miquel, Patrick Bouchain, Rudy Ricciotti, Stéphane Maupin

Permis de construire/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1  2010-2011
 
La designer matali crasset a créé pour La Cité de l’architecture et du patrimoine, 7 installations qui invitent les tous jeunes visiteurs à construire leur maison en expérimentant différents modes de construction. Ces cabanes du XXIème aux formes organiques et aux couleurs acidulées renouvellent complètement l’image de la cabane traditionnelle. Il y a toujours une cabane dans nos histoires d’enfance, de la maison sous la table de la salle à manger à la cabane dans le jardin. Ces maisons imaginaires expriment à la fois une volonté de repli vis-à-vis du monde extérieur, une recherche de protection, mais aussi une ouverture à l’imaginaire. Ces cabanes de notre enfance sont fondatrices car elles permettent à chacun, une appropriation de l’espace en toute liberté, hors des contraintes sociales et spatiales. Elle offre à chacun la possibilité de se façonner son univers, en suivant ses désirs et son inspiration…

Le mythe de la cabane/

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2010-2011
La cabane primitive:  est cette légende qui permet d’expliquer comme « éternel présent », toute production architecturale. C’est à travers le récit du mythe sans cesse renouvelé de la maison primitive que se donne la définition de l’architecture. Car depuis toujours l’homme à besoin de se construire un abri pour s’isoler des hostilités du monde extérieur. La notion d’abri, de hutte, de cabane sont liées à ce besoin et ce désir de se «recréer» un monde à soi, à son image qui permette à l’homme d’habiter.
La cabane est pour les enfants mais aussi pour les architectes l’archétype de la maison. Elle en est un raccourci, une version simplifiée, de la complexité qu’entoure une maison. Cet espace réduit n’a de fonction que d’abriter d’un dehors. L’usage intérieur étant libre, puisque sa seule fonction est de séparer.
http://www.aroots.org/notebook/article93.html 


Le mythe de la cabane: extraits d’une conférence donnée à l’Institut français d’architecture le 13 mars 2002 (Réalités et mythes de la cabane dans l’histoire de l’architecture de 1750 à 1930) par Dominique de Font-Réaulx, conservateur au musée d’Orsay et commissaire de l’exposition.
http://www.habiter-autrement.org/08.minimaliste/07_min.htm
 

10/09/2009

parasite

ATELIER  DE CONCEPTION DE1 2009-2010

micro-architecture parasitaire